Histoire de la paroisse

HISTOIRE DE NOTRE EGLISE ET DE LA PAROISSE SAINT SEBASTIEN

La paroisse St-Sébastien sur Loire a porté le nom de St-Sébastien les Nantes.
En 1196, on l’appelle Agniona…
En 1283, nous trouvons Engniana…
En 1287, Angnia ou Engnia…
Plus tard a prévalu l’appellation St-Sébastien d’Aignes ou d’Aigues que l’on a voulu faire dériver de aquis ( des eaux ), mais qui probablement n’est qu’une altération des noms cités plus haut.
St-Sébastien d’Aignes fut jusqu’au Concordat (1801) la paroisse, qui s’étendait jusqu’à la Sèvre Nantaise, à l’ouest, et jusqu’au bras de la Madeleine, sur la Loire. St-Jacques était un Prieuré en dépendance de St-Sébastien.
L’architecte Neau, appelé à examiner l’ancienne église, constata au mur latéral nord, une partie de maçonnerie qu’il attribua au 9ème siècle, sur laquelle a donc été construite la toute première église, sur le passage d’une voie romaine. La seconde église, a donc été construite au cours du XVème siècle sur les fondations d’une première église, construite avant le IXème.
L’Abbaye de Jouin de Marnes dans les Deux-Sèvres, serait à l’origine de la création de cette paroisse d’Aignes. Ses archives ayant été détruites, nous n’avons pas de renseignements précis sur son origine.
Peut-être le premier St Patron d’Aignes a été Saint Martin de Vertou. L’abbé Radigois nous dit dans son récit, avoir gardé le souvenir dans son enfance, de deux statues en bois doré, qui étaient placées de chaque coté du maître-autel, dans la vieille église. L’une représentait un guerrier, Saint Sébastien, l’autre un diacre. Toutes les deux portaient dans leurs mains un reliquaire de forme ovale, rempli de reliques. L’état désespéré de dégradation dans lequel elles étaient tombées, les fit juger indignes d’une restauration et, quand le maître-autel fut transporté dans la nouvelle église, ces statues disparurent.
Saint Martin de Vertou était diacre quand il a été chargé par Saint Félix évêque de Nantes, de christianiser une zone entre Goulaine et le lac de Grand Lieu. C’est pourquoi, la deuxième statue était probablement celle de St-Martin de Vertou.
L’abbé Radigois citant le registre paroissial, nous dit que le 26 mars 1499, l’église de St-Sébastien, après avoir été réparée par Thomas James évêque de Dol, fut consacrée par lui. Cela confirmerait, que cette église a été construite au cours du XVème siècle.
Il nous dit qu’elle était de style gothique, son choeur se terminait par un chevet plat, spécimen caractéristique d’un grand effet. Elle avait de magnifiques vitraux.
Le clocher qui fut rebâti ou remis à neuf, après l’incendie de 1726 n’avait rien d’artistique, mais le portique du XVIème, sur lequel il s’élevait était du meilleur goût. Il a subsisté jusqu’à la construction de l’église actuelle. Le cimetière entourait cette église, et a été transféré vers 1850 où il est actuellement, sur la rue de la Commune 1871.
Dans l’histoire de l’église ancienne et de la paroisse, nous relevons dans le récit de l’abbé Radigois, qui cite le registre paroissial :
Le 14 mai 1622 : relation d’un pèlerinage accompli au Mont St Michel, par plusieurs paroissiens de St-Sébastien.
Le 9 décembre 1655 : translation de reliques : « Je, Jacques Ticier, recteur de St-Sébastien, ay été processionnellement, dans l’église du prieuré de Ste Radegonde, paroisse du Loroux-Bottereau, par permission de l’Evêque de Nantes, quérir les reliques de St-Sébastien, du consentement de Madame
l’Abbesse de St-Sulpice et de Madame Grinouville, prieure du dit prieuré, inclinante à notre prière et requête ».
En 1726 : l’église est reconstruite après un violent incendie.
L’ouvrier chargé de placer le coq sur le nouveau clocher en poivrière, arrivé à la croix cria à son patron resté en bas de la tour : « où est le trou pour y mettre le coq » ?
« Ah !, s’écria le patron, mon homme est perdu » et à l’instant même, l’ouvrier cédant au vertige, s’abattit sur la place de l’église.
Le 11 juin 1740 : pendant une mission qui dura un mois, on se rendit en procession pour bénir deux croix : l’une à Pirmil qui fut appelée la croix de Bon-Port; l’autre sur la grève, vis à vis de la rue de la Croix Blanche; elle fut appelée la Croix de Victoire. En 1787, elle fut restaurée et appelée la Croix du Salut. Démolie et abattue sous la révolution fin 1793, huit mois après l’incendie de l’église, en avril 1793, cette croix fut restaurée et bénite le 14 septembre 1834. Renversée par une tempête, elle fut remplacée et bénite le 14 septembre 1864.( signé : Mainguy, curé le 10 novembre 1909 ).
Le 13 Juin 1740, on a béni une troisième croix au Portereau des Landes, qui fut appelée la croix de la Paix.
Le 3 Janvier 1762, nous retrouvons sur le registre paroissial, l’acte de repentance et le retour à l’Eglise Catholique de madame Tomas, épouse Barthélémy, et le 14 Mars 1762, celui de son mari, négociants retraités au château de la Cour Neuve.
Le 1er Avril 1766, nous retrouvons le procès-verbal de la bénédiction de la chapelle de la Gibraye.
Cette bénédiction a été faite par Urbain de Hercé, Vicaire général de Monseigneur l’évêque de Nantes, en présence de Louis Auguste Biard, recteur de la paroisse, et monsieur et madame Jean-Baptiste Mérot, propriétaires du lieu.
Le 17 décembre 1781, c’est la bénédiction de la chapelle des Ouches de la Savarière ( la chapelle actuelle ), bâtie par madame veuve Cambronne-Dallère,tante du général Cambronne. Cette chapelle était devenue le but de la première procession des Rogations.
Pendant la Révolution, le curé était l’abbé Gergaud. Il refusa de prêter serment, mais resta caché dans la paroisse, il fut signalé par le curé constitutionnel Maillard. Il fut arrêté, fait prisonnier à Nantes, et il figure parmi les prêtres noyés le 16 novembre 1793.

Les Pèlerinages à St-Sébastien
Les pèlerinages à St-Sébastien sont très anciens. On ne peut préciser la date de leurs origines, mais il est probable qu’ils commencèrent à l’occasion de la peste qui sévit à la fin du XIVème siècle.
Dès 680, Saint Sébastien sauva Rome de la peste. C’est à cet évènement, qu’il faut rapporter la grande confiance que les peuples ont toujours eue depuis, à l’intercession de Saint Sébastien contre la peste.
Les pèlerinages à St-Sébastien lez Nantes étaient si renommés en France, que Rabelais n’a pu s’empêcher d’en faire mémoire, dans ses contes plus drôles qu’édifiants. C’était contre le fléau de la peste, qu’on allait implorer la protection du soldat martyr. On entendait alors par peste, toute épidémie devenue meurtrière.
En 1500 : La peste qui désola la ville de Nantes, porta les habitants à faire un voeu à Saint Sébastien. La Communauté de la ville ( qui était le conseil municipal de l’époque ), s’obligea par voeu, à aller tous les ans, le 20 janvier, jour de la fête du Saint, à l’église de St-Sébastien d’Aignes, où elle recevrait la Sainte Eucharistie. Cette dévotion se fit pendant 150 ans.
Toutes les paroisses de la ville et de la campagne environnante y venaient en procession. Cette cérémonie était brillante. Un nombreux clergé y assistait.
En 1537 et 1538, on mentionne la présence de 24 et 28 prêtres.
On relève dans les registres paroissiaux les exemples suivants :
– Entre 1525 et 1581 : plusieurs voyages par bateau, des paroissiens de Thouaré.
– En 1589 : procession d’Avessac.
– Voeu de la paroisse de St-Gildas des Bois, à partir de 1595.
– Procession de St-Mars du Désert en 1639.
— Voeu du Clion en 1676 et 1705 ( la dysenterie y est très meurtrière ).
_ Procession de Saffré au 18ème siècle.

L’Eglise actuelle
Au milieu du 19ème siècle, le curé Verhoeven, jugeant l’église trop petite, expose son projet d’un nouvel édifice, d’abord au conseil de fabrique, puis au conseil municipal.
Grâce au soutien de Monseigneur Jacquemet, Evêque de Nantes en 1858, l’achat de terrain se réalise en 1862, avec l’accord de la municipalité.
Deux ans plus tard, le nouveau curé F. Picaud, soutenu par le maire Louis Mérot du Barré, reçoit l’acceptation par la préfecture, de nouveaux plans de construction, présentés par l’architecte Boismain.
La première pierre est posée le 10 mai 1868. Le choeur et le transept sont presque achevés en juillet 1869, la nef ne le sera qu’en 1871.
Cette nouvelle église, malgré la générosité de nombreux paroissiens, aura finalement coûté très cher au conseil de fabrique, et généré des dettes jusqu’au début du 20ème siècle.
Le 26 décembre 1909 : l’ abbé Pierre Auguste Guillou est nommé et installé curé de la paroisse Il nous relate une anecdote qui peut nous faire sourire :
« En 1911, il y eu une retraite de trois jours, pour les jeunes gens et les jeunes filles. Cinquante garçons et soixante dix jeunes filles ont suivi, la retraite et ont communié. Pendant la retraite, la congrégation des jeunes filles chrétiennes, a été transformée en patronage, sous le vocable de Ste Agnès. Les fruits de ces quelques jours de recueillement ont pu être intérieurs, mais il n’en a rien paru extérieurement. L’esprit de jalousie à plutôt prévalu parmi les jeunes filles, et a mis la division entre elles ».
En 1913 : bénédiction du drapeau de la Cambronnaise, le 1er mai, jour de l’Ascension.
Le 25 août 1918 : bénédiction de la Croix de la Taponnière.
Érigée en 1883, à la fin d’une mission, elle a été abattue par une tempête. La famille Thomeuf de la Métairie a l’idée de la restaurer, et d’en faire un monument aux victimes de la guerre, en souvenir de leur fils et de tous les soldats de la paroisse, morts pour la France. La nouvelle croix fut transportée par trois groupes d’hommes, de la cure à la Taponnière. La date de l’installation peut expliquer, que l’inscription sur la plaque n’a jamais été terminée.
Le 9 Janvier 1927, Monseigneur Le Fer de la Motte vient à St-Sébastien, pour bénir la nouvelle école de garçons Ste Thérèse de l’Enfant Jésus.
La mission décennale fut prêchée par des capucins, du 12 octobre au 2 novembre 1930. Elle se clôtura par l’érection et la bénédiction d’une statue du Sacré-Coeur, sur un terrain appartenant à la famille Leveau, sur la rue du Général de Gaulle. Quand ces terrains se sont vendus, la statue a été remise à la paroisse et se trouve maintenant dans l’enclos derrière l’église.
Une demoiselle Corgnet a offert un maître-autel à l’église.
Ce nouvel autel a été béni le 30 Juin 1935.
C’est le 23 mars 1941, que monsieur le curé Guillou âgé, prend sa retraite et représentant Monseigneur l’évêque, installe monsieur l’abbé Pineau comme curé.
Le 4 Juin 1941, la paroisse achète la maison Corgnet attenante à la cure, pour en faire une salle de réunion.
En Octobre 1943 : c’est la guerre. Par sécurité, les écoles chrétiennes sont repliées à Boussay et à la Chaussaire.
Le 4 Décembre 1943 : décès de monsieur le curé Guillou.

Lors de la dernière Guerre :
Le 7 Juin 1944 de 7 heures à 9 heures le soir bombardement terrible.
Un témoin raconte : « Les bombardements terminés, je me suis empressé d’aller vers le bourg, pour apporter une aide si elle était nécessaire.
Dans le centre du bourg, je découvre un spectacle d’apocalypse : des maisons, un peu partout étaient écrasées, éventrées. L’école Ste-Thérèse était elle aussi écrasée et elle brûlait. J’ai aidé à dégager deux personnes âgées, tuées, ensevelies sous leur maison, en retrait, à l’angle de la rue du Général Duez et de la rue Jean-Baptiste Robert. A cet endroit, il y avait un magnifique calvaire du 15ème siècle qui a été entièrement détruit. Il avait été projeté en partie sur les maisons environnantes.
Puis, je me suis dirigé vers l’église : elle était dans un triste état. Le portail était enfoncé et l’on pouvait apercevoir la voûte du choeur tombée en partie sur le maître-autel. La sacristie de droite était écrasée. J’ai reconnu un prêtre, professeur à la Joliverie qui, devant le maître-autel, était à retirer un ciboire du tabernacle. La moitié du presbytère était écrasée, et j’ai appris quelques jours plus tard, que l’abbé Raimbert, arrivé du matin et Marguerite Prioux, employée du presbytère étaient tués, ensevelis sous les décombres ».
Pendant quelques mois, la paroisse s’est repliée sur l’église de Basse-Goulaine et sur la chapelle de la Joliverie.
Un mur provisoire de parpaings, a été dressé entre le choeur et la nef principale, pour pouvoir réutiliser cette partie de l’église qui avait moins de mal ».
En juin 1945, l’église se trouve remise en état pour la confirmation. Ce mur de clôture qui sépare la nef du choeur, peut recevoir des tentures qui encadrent une grande croix, et détachent assez heureusement un petit autel provisoire. En 1946 : c’est la reconstruction de la sacristie de droite, avec son agrandissement, pris en charge par la paroisse. Septembre 1947 : un nouveau calvaire est érigé au Douet, place Alfred-Radigois.
Le 1er août 1948 : restauration d’un calvaire au Portereau.
Le 7 novembre 1948 : c’est la bénédiction d’un nouveau calvaire au Patis-Moreau.
Le 6 juin 1951 : bénédiction d’un nouveau calvaire à la Gringaudière.
En Juillet 1951 : de nouveaux vitraux sont mis en place, au chevet de l’église.Ils sont l’oeuvre du maître verrier, mademoiselle Marguerite Huré, agréée des Beaux Arts. Une anecdote peut-être rappelée : les esquisses avaient été soumises entre autre, au conseil municipal; un adjoint au maire, pas d’accord avec certains détails du motif central avait demandé de le modifier, ce qui retarda la mise en place. Ce qui est certain, c’est que nous pouvons admirer aujourd’hui, la beauté de ce vitrail central, dont le maître verrier a su mettre en valeur, la virilité de ce grand Saint Sébastien.
Le 7 mai 1953 : Monseigneur venu pour la confirmation, veut bien bénir le presbytère reconstruit.
Le 17 mai 1953 : inauguration du nouveau chœur du maître-autel de la Ste-Table et de l’ambon. Installation et bénédiction de l’orgue, avec Maître René Blanchard, sous la présidence de monsieur le chanoine Marcel Courtonne. L’inaugurateur était le maître Arthur Colinet, titulaire du grand orgue de la basilique St-Nicolas.
En novembre 1954 : bénédiction de l’école Ste-Bernadette au Douet.
Le 13 avril 1955 : bénédiction du nouveau Chemin de Croix, sculpté dans les boiseries qui entourent l’église, par le Révérend Père Donatien des Religieux Franciscains de Canclaux.
Le 5 mai 1956 : consécration de l’église et de l’autel majeur, par Monseigneur Jean-Joseph Villepelet.
Pâques 1958 : à l’école Notre Dame de Toutes Grâces, mise en service de cinq nouvelles classes.
Octobre 1958 : l’école de garçons ouvre dans les nouveaux locaux, rue Jean-Baptiste Robert. Les six classes sont prises en charge par les Frères de St-Gabriel.
Le 15 Septembre 1961 : modification des limites de la paroisse de St-Sébastien, pour la création du Centre St-Jean en paroisse.
Le 22 octobre 1967 : arrivée de l’abbé Leray comme curé à St-Sébastien. Le chanoine Pineau, après 37 ans de ministère à St-Sébastien se retire à Nantes. Il était arrivé comme vicaire, le 2 septembre 1930.
En septembre 1978 : départ de l’abbé Leray et arrivée de l’abbé Pierre Hud’homme comme curé.
Le 4 mars 1980 : grande animation, autour de l’église, au moment ou un ouvrier d’une maison de St-Nazaire détache le coq du clocher et le descend. Il avait en même temps, procédé à la réinstallation d’un paratonnerre.
Ce coq avait disparu pendant quelques temps, et un jour, un colis est déposé à l’Hôtel de Ville. Surprise, c’était le coq descendu du clocher. Ne sachant quoi en faire, les responsables municipaux l’ont confié aux « Amis de St-Sébastien ». Ce coq est toujours dans son carton, et il est actuellement dans le local des  » Amis de St-Sébastien », au Portereau.
Pierre Hud’homme nous quitte en septembre 1988. Puis l’abbé Paul Houdayer arrive comme curé et nous quitte en septembre 1997. Ensuite c’est l’abbé Clément Langlais qui devint notre curé de septembre 1997 à Septembre 2008. A partir de septembre 2008, c’est une équipe d’animation paroissiale (EAP), avec l’abbé Loïc LE HUEN comme prêtre modérateur qui assure l’exercice de la charge pastorale.
En Juin 2012, l’abbé Loïc LE HUEN nous quitte et il est remplacé par le Père René Pennetier comme prêtre modérateur.
René Pennetier a occupé ce poste jusqu’en septembre 2022 pour prendre une retraite bien méritée.
En septembre 2022, à Saint Sébastien sur Loire, les paroisses St Jacques, St Jean, Ste famille ainsi que la paroisse de St Sébastien sont regroupées et c’est Emmanuel Mustière qui en devient le curé.
Il devient le pasteur de ces 2 paroisses et 4 églises assisté de 2 EAP.
C’est un gros changement pour St Sébastien qui tout en restant une paroisse, perd une partie de son autonomie. Le père Emmanuel Mustière est assisté de 2 autres prêtres qui sont Jean-Louis Gratas et Félix Mignet ainsi que de 3 diacres.

Nous sommes dans un monde de l’image : aujourd’hui, tous les messages pour informer, pour permettre la reconnaissance, pour transmettre de la communication , passent par l’image, par des supports visuels…
La représentation d’une entité, d’un événement, d’une marque… se fait par un dessin,… un logo…
C’est dans ce contexte que, suite au remodelage diocésain, afin de marquer symboliquement les nouvelles paroisses ou entités paroissiales, nous avons été sollicités par notre évêque et les organisateurs du rassemblement de la Pentecôte, pour créer une représentation graphique spécifique à notre paroisse, en vue de cet événement.
Un chantier « logo » a été ouvert rapidement cette année afin de pouvoir reproduire ce dessin sur un tissu de 2 mètres sur 1 mètre, tel une bannière, pour la célébration de la Pentecôte.
C’est ainsi que nous avons proposé à tous les volontaires la possibilité de créer un nouveau logo pour actualiser l’image de la paroisse et l’identifier spécifiquement, pour remplacer « la flèche du clocher » que nous utilisions jusqu’à présent, qui se retrouve similaire à de nombreuses paroisses . Nous avons reçu une dizaine de propositions et nous tenons à remercier chacun, chacune des participants pour leur contribution à ce travail d’imagination et de création.
L’heure du choix venu, l’Equipe d’animation paroissiale a retenu le logo à l’effigie de Saint Sébastien, inspiré du vitrail central de l’église, qui identifie le mieux notre paroisse.

L’Equipe d’Animation Paroissiale